Ce vendredi 1er juillet se déroule à Foix (Ariège) un concert de soutien aux Faucheurs Volontaires d'OGM.
Tous les actifs y sont bénévoles, y compris les groupes musicaux.
Les bénéfices iront intégralement à l'association Sans Gène. Ce concert est organisé par l'association L'Equi'Table de Foix.
EELV contre le plaisir du spectacle de la violence liée aux corridas
Europe Ecologie Les Verts ne s’oppose pas aux manifestations taurines mais s’oppose formellement à toute souffrance envers les animaux et refuse catégoriquement les mises à mort dans les souffrances liées aux novilladas et corridas.
Le groupe Haute-Garonne Sud Ouest d’EELV demande expressément, au Préfet de la Haute-Garonne et au Maire de Rieumes, la suspension de la novillada et de la corrida de Rieumes prévue le dimanche 26 juin. Il invite tous les haut-garonnais et haut-garonnaises à les rejoindre dans une manifestation pacifique et non violente dès 10H30 avec progression jusqu’à 17H00. Un « Pique-nique partage » sorti des paniers, sera organisé sur place.
Les élus EELV de la région Midi Pyrénées et du département de Haute-Garonne déplorent ces pratiques, s’étonnent et ne s’expliquent pas la présence des logos du département et de la région sur les affiches de cette féria et se demandent comment le Conseil Général de Haute Garonne et le Conseil Régional de Midi-Pyrénées pourraient soutenir ce genre de manifestation !
Le groupe EELV du sud ouest toulousain soutient également les actions menées contre la saison sanglante des corridas dans toute la France et notamment celle prévue à Vic-Fezensac pour la … pentecôte !
Comment M. Frédéric Mitterrand, Ministre de la culture du gouvernement Sarkozy, a pu demander, le 23 avril 2011, l’inscription de la tauromachie au patrimoine immatériel français ?
Dans son Manifeste pour une société écologiste, Europe Ecologie Les Verts s’est très clairement opposé à ce type de reconnaissance et le 28 mai dernier nous avons soutenu la mobilisation des 130 organisations françaises et européennes indignées par cette décision ministérielle.
EELV précise que pour le projet Présidentiel 2012, il prévoit notamment une loi « Droits et Protection des Animaux » qui édictera le statut juridique de l’animal et permettra de passer de la notion de « bien meuble » à celle d’êtres vivants et sensibles ayant légitimement droit au respect.
Les élus EELV de la région Midi Pyrénées et du département de Haute-Garonne déplorent ces pratiques, s’étonnent et ne s’expliquent pas la présence des logos du département et de la région sur les affiches de cette féria et se demandent comment le Conseil Général de Haute Garonne et le Conseil Régional de Midi-Pyrénées pourraient soutenir ce genre de manifestation !
Le groupe EELV du sud ouest toulousain soutient également les actions menées contre la saison sanglante des corridas dans toute la France et notamment celle prévue à Vic-Fezensac pour la … pentecôte !
Comment M. Frédéric Mitterrand, Ministre de la culture du gouvernement Sarkozy, a pu demander, le 23 avril 2011, l’inscription de la tauromachie au patrimoine immatériel français ?
Dans son Manifeste pour une société écologiste, Europe Ecologie Les Verts s’est très clairement opposé à ce type de reconnaissance et le 28 mai dernier nous avons soutenu la mobilisation des 130 organisations françaises et européennes indignées par cette décision ministérielle.
EELV précise que pour le projet Présidentiel 2012, il prévoit notamment une loi « Droits et Protection des Animaux » qui édictera le statut juridique de l’animal et permettra de passer de la notion de « bien meuble » à celle d’êtres vivants et sensibles ayant légitimement droit au respect.
Catherine RENAUX et Christian VALADE porte-paroles du groupe EELV Sud Ouest Toulousain.
Contact presse : Catherine Renaux 06.30.41.93.32
- la torture au patrimoine culturel français !
- Rieumes est en train de devenir une ville de tradition taurine !
- Europe Ecologie dénonce la corrida
Rieumes (31) 16 juin 2011
Sécheresse : réagir face à l’urgence
La sécheresse frappe la Région Midi-Pyrénées et affecte en première ligne les petits éleveurs, qui subissent donc cet accident climatique. Pour les écologistes, il faut dans cette situation réagir face à l'urgence mais aussi anticiper la reproduction probable de tels événements, avec le changement climatique en cours.
Mettre en place un réseau fourrager, plafonner le prix du fourrage et de la paille, interdire la spéculation
Dans l'immédiat, il s'agit de soutenir les petits éleveurs à l'herbe, tant financièrement que sur le plan organisationnel, notamment par la mise en place d’un réseau fourrager et en plafonnant le prix du fourrage et de la paille ; mais aussi si besoin en intervenant sur les excédents de production dus à la décapitalisation des cheptels avec un risque d’effondrement des cours. Il faut aussi prendre des mesures pour interdire la spéculation sur les produits agricoles, dont les céréales, en partie destinées au bétail. Le libéralisme montre une fois de plus ses limites en agriculture et les prêts de trésorerie envisagés par le Ministre n’aideront encore une fois pas les éleveurs les plus en difficulté.
Repenser le système agricole actuel
A moyen et long terme, il faut soutenir une agriculture résiliente, c'est-à-dire adaptée aux conditions locales. Repenser le système agricole actuel, c'est aussi produire des cultures et élever des races d'animaux adaptées au climat. Il faut aider les agriculteurs à mettre en place des techniques culturales et des assolements adaptés aux évolutions climatiques, et leur permettre de sélectionner les semences localement et de manière participative pour avoir des variétés mieux adaptées. Il faut aussi, après l’urgence du moment, repenser l’avenir de nos élevages, et engager avec les éleveurs les évolutions nécessaires pour maintenir un élevage durable dans les zones herbagères. Cet avenir devra se construire autour de politiques territoriales fortes favorisants la transformation et la valorisation des produits, le développement de l’agriculture biologique et des signes officiels de qualité pour apporter un plus dans le revenu des agriculteurs. Cette transformation ne pourra pas se faire sans une régulation des cours des matières premières végétales et de la viande et du lait, sans un plafonnement des aides et une répartition plus juste entre le secteur céréalier et celui de l'élevage à l’herbe. Il faut aussi que protéines végétales soient produites au plus près des élevages au lieu de les importer et de produire massivement un maïs irrigué à destination du bétail, qui n'est pas toujours adapté à nos ressources en eau. Enfin, la nécessité de consacrer les ressources en eau et en terres à la production alimentaire doit amener à interdire les cultures destinées à produire des agro-carburants et à repenser nos modes d'alimentation.
Ces mesures de moyen et long terme permettraient de mettre en place l'agriculture que nous appelons de nos vœux, diversifiée, locale, agro-écologique à l'image de l'agriculture biologique. L'agriculture de demain doit être beaucoup plus autonome, organisée autour d’une valorisation et d’offre locale, moins consommatrice d’eau, d'énergie et de gaz à effets de serre. Nous considérons que le recours accru à l’irrigation et l’augmentation des potentialités de stockage hydraulique ne sont pas des solutions à envisager. C'est, pour les écologistes, outre des mesures d'urgence cohérentes, une réponse durable qu'il faut apporter au changement climatique et au désarroi du monde agricole
François Calvet, Vice-président de la commission agriculture, agro-alimentaire
Pour les élu-e-s Europe Ecologie – Les Verts au Conseil régional Midi-Pyrénées
Seysses : Fermeture de classe
Lettres des parents d'élèves à l’Inspecteur d'Académie
Au début de l’année civile, nous avons appris la fermeture d’une classe à l’école maternelle Paul Langevin de Seysses pour la rentrée 2011. Nous avons essayé de faire entendre notre inquiétude par rapport à cette décision, dans la mesure où il est difficile au mois de janvier de prévoir le nombre d’inscriptions pour la rentrée suivante. Cette décision de fermeture de classe aura évidemment pour conséquence immédiate la dégradation des conditions d’apprentissage pour les enfants et un travail quotidien des enseignants plus difficile en particuliers lorsqu’il est destiné à des enfants en difficulté.
Photo archive : La Dépêche du Midi |
Aujourd’hui, notre inquiétude est d’autant plus vive que les chiffres d’inscrits à la date du 19 mai montrent une moyenne de 28 élèves par classe à l’école Flora Tristan et de 30.75 élèves par classe à l’école Paul Langevin où a lieu la fermeture. Les inscriptions ne sont pas closes et les chiffres vont encore augmenter, puisque que notre village présente certaines caractéristiques :
- Une partie de la population est en difficulté sociale ce qui entraîne la présence d’enfants en difficultés scolaire.
- Nous avons aussi une forte proportion de gens du voyage ce qui conduit à des fluctuations importantes d’effectifs. Cette situation particulière est reconnue par l’éducation nationale puisque qu’une enseignante surnuméraire a été nommée cette année à l’école élémentaire pour encadrer ces enfants « du voyage ».
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