Résultats Haute Garonne
Pétition de solidarité avec la famille LIEVY menacée d'expulsion par l'application de LOPSSI2
Collectif de solidarité avec Frédo LIEVY composé de Goutte d’eau (Association de Gens du voyage), CCPS, FNASAT, RESF 31, Terr’Eau, LDH Toulouse, Handi Social, Enfants de Don Quichotte Toulouse, DAL 31, Cinéma Utopia Tournefeuille, MRAP, ATTAC Toulouse, CSF 31, Groupe Amitié Fraternité, Halem, Collectif anti-LOPPSI 2 Toulouse, CCFD TS 31, Comité de Liaison Intercollectifs de soutien aux personnes privées de papiers (CLIC), Collectif Sans papiers de Cugnaux, NSD 31, FSU 31, Solidaires 31, CNR 31, Les Alternatifs 31, EELV Midi Pyrénées, Gauche Unitaire 31, FASE 31, NPA 31, PG 31
Un Rom sédentaire menacé d'expulsion ! (Frouzins)
envoyé par teletoulouse-wizdeo. - L'info internationale vidéo.
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A l'attention de Monsieur le Maire de Frouzins (31),
Monsieur Frédéric Liévy, domicilié à Frouzins en Haute-Garonne, est menacé par la municipalité de cette commune de destruction de son domicile et de son exploitation agricole. Or, Monsieur le Maire de Frouzins n’est autre qu’Alain Bertrand, qui est aussi Vice-président du Conseil Général de la Haute-Garonne.
Le « terrain familial » de Monsieur Frédéric Liévy est pourtant montré en exemple au sein du film « Un terrain pour ma famille » du SIEANAT (Syndicat Intercommunal pour l'Etude et l'Accueil des gens du Voyage sur le département de la Haute Garonne). En subventionnant à l’époque ce film particulièrement instructif, le Conseil Général de la Haute-Garonne a œuvré en faveur de la promotion des « terrains familiaux », seuls aptes à répondre aux aspirations actuelles des Gens du voyage désirant se sédentariser.
Un membre élu du Conseil Général de la Haute-Garonne jette une ombre sur le travail de cette collectivité en faveur de l’insertion des Gens du voyage. L’intégration des Roms et des Gens du voyage ne pourra passer que passera essentiellement par l’activité économique. Empêcher Monsieur Liévy d’exercer sa profession, c’est lui couper tout revenu et le rendre - lui et sa famille - dépendant des services sociaux.
Par ma signature, je demande à Alain Bertrand, maire de Frouzins :
Le « terrain familial » de Monsieur Frédéric Liévy est pourtant montré en exemple au sein du film « Un terrain pour ma famille » du SIEANAT (Syndicat Intercommunal pour l'Etude et l'Accueil des gens du Voyage sur le département de la Haute Garonne). En subventionnant à l’époque ce film particulièrement instructif, le Conseil Général de la Haute-Garonne a œuvré en faveur de la promotion des « terrains familiaux », seuls aptes à répondre aux aspirations actuelles des Gens du voyage désirant se sédentariser.
Un membre élu du Conseil Général de la Haute-Garonne jette une ombre sur le travail de cette collectivité en faveur de l’insertion des Gens du voyage. L’intégration des Roms et des Gens du voyage ne pourra passer que passera essentiellement par l’activité économique. Empêcher Monsieur Liévy d’exercer sa profession, c’est lui couper tout revenu et le rendre - lui et sa famille - dépendant des services sociaux.
Par ma signature, je demande à Alain Bertrand, maire de Frouzins :
- de revenir sur la destruction du domicile et de l’exploitation de Monsieur Frédéric Liévy, qui ressemble en tous points à l’application de la loi LOPPSI 2 en cours de vote dans les 2 assemblées et forcément sans décret d’application
- de retirer sa plainte au tribunal correctionnel, déposée officiellement par le préfet (jugement prévu le 22 février 2011)
- d’accorder le permis de construire à Monsieur Frédéric Liévy sur son exploitation agricole, comme pour tout agriculteur.

Suivre les liens :
HALTE A LA REPRESSION EN TUNISIE
RASSEMBLEMENT DE SOLIDARITE
En France (Lyon, Nantes, Marseille, Lille…) et à l’étranger (Montréal,…)
TOULOUSE :
devant le Consulat de Tunisie,
19 Allées Jean Jaurès, Métro Jean Jaurès
JEUDI 6 JANVIER 2011 à 18 h.
Communiqué de presse D'Europe Ecologie Les Verts du 27 décembre 2010
Europe Écologie Les verts affirme sa solidarité avec la mobilisation citoyenne en cours, depuis plusieurs semaines, dans la région de Sidi Bouzid en Tunisie. Une nouvelle fois, après Gafsa et Ben Guerdane, le gouvernement tunisien réprime dans le sang la révolte de toute une population mobilisée contre la corruption du régime, la hausse des prix des matières premières et le chômage (notamment des jeunes diplômés). Face à la colère des habitants le gouvernement de Ben Ali répond : couvre-feu et tirs de la police à balle réelles sur la foule, causant plusieurs morts et des dizaines de blessés.
Europe Écologie Les Verts en lien avec Tunisie Verte, le seul parti de l’écologie politique en Tunisie, demande:
- le retrait des forces de police ;
- la libération des personnes arrêtées suite aux mobilisations, notamment à Tunis lors de la manifestation de soutien à la révolte, et la fin de l'usage de la torture.
- Enfin, Europe Écologie les Verts demande à la France de rompre son silence complice en condamnant clairement la politique répressive du gouvernement tunisien.
Djamila Sonzogni, porte parole
Comité 31 du mouvement de la Paix.
Le vendredi 17 décembre 2010 a démarré un mouvement de protestation à Sidi Bouzid dont le déclenchement fut un évènement grave : un jeune chômeur qui a eu recours pour faire vivre sa famille à la vente ambulante de fruits et légumes s’est vu interdire cette activité par les autorités et s’est immolé par le feu. Par cet acte de désespoir, il voulait signifier qu’il ne restait aucun espoir pour vivre dans la Tunisie des « miracles » économiques, dont le résultat est un chômage endémique qui touche aujourd’hui en particulier la jeunesse, sans épargner aucunement les titulaires d’un diplôme supérieur. A partir de ce moment, ce sont d’importantes manifestations de jeunes chômeurs, de précaires et de travailleurs qui sont descendues dans la rue. De nombreuses villes des alentours de Sidi Bouzid ont rejoint le mouvement dans un premier temps, puis des villes du nord au sud du pays jusque la capitale, Tunis, ont donné à ce mouvement un caractère de ras-le-bol généralisé contre le chômage, la cherté de la vie, la corruption, l’injustice des politiques sociales et économiques qui se sont étendues à toutes les régions de la Tunisie. Les slogans les plus répandus y mettent en cause directement la légitimité du pouvoir et de l’administration.
Le président Ben Ali s’est adressé à la population, ce mardi 28 décembre, reconnaissant pour la première fois la gravité de la crise et des souffrances qui frappent les couches les plus larges de la population. La manière inédite qu'il a choisie pour répondre aux évènements montre clairement que l'ampleur du mouvement ébranle sérieusement le pouvoir. Pourtant, aucune mesure concrète et crédible n'y est annoncée, et --surtout-- le Président y formule des mises en garde claires contre les "manipulateurs", les "mercenaires" et les "media étrangers" qui seraient à l'origine des troubles. L'élément le plus concret de son discours est une menace inquiétante et à peine voilée aux journalistes et à la presse indépendante, aux associatifs, syndicalistes et militants politiques autonomes engagées dans le soutien à la population. Les arrestations se sont ensuite multipliées. Plusieurs militants de la société civile, des défenseurs des droits humains, des journalistes, des syndicalistes, des membres de partis politiques d’opposition et de simples manifestants ont été arrêtés, molestés et gardés à vue. Certains ont été libérés, d’autres non.
Les autorités tunisiennes n'ont pas hésité comme à l'accoutumée à fermer les derniers espaces de liberté de la presse en empêchant la distribution des seuls journaux indépendants.
Ce mouvement contestataire est soutenu par de nombreux tunisiennes et tunisiens, par les partis politiques indépendants du pouvoir par les associations démocratiques; les avocats ont organisé des rassemblements de soutien dans plusieurs villes.
- Nous soutenons ce mouvement populaire contestataire et autonome auquel la jeunesse participe en très grand nombre.
- Nous dénonçons cette attitude qui ne répond pas à la dégradation sans précédent des conditions de vie dans le pays bien loin des « miracles » tant vantés par les officines de la propagande du régime.
- Nous appelons à la libération de tous les emprisonnés de ce mouvement et de ceux qui l’ont précédé
- Nous appelons à une réelle prise en compte de la précarité qui touche des pans entiers de la société.
- Nous demandons aux autorités exécutives françaises et européennes de prendre position et de s’exprimer publiquement et promptement sur la répression en cours en Tunisie et de recevoir une délégation du collectif. Leur silence vaudrait complicité voire approbation et chacun saurait s’en souvenir.
Solidarité totale avec les populations en lutte pour la satisfaction de leurs revendications.
Comité 31 du mouvement de la Paix.
En résistance aux exactions du régime du président Ben Ali en Tunisie, caractérisé par un mélange détonnant d'ultralibéralisme, de corruption, de répression et de persécution des journalistes, un APPEL UNITAIRE à manifester à été lancé dans plusieurs villes (rue 89)
Les signataires de l'appel
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Tract de jeunes tunisiens qui circule sur internet via les réseaux sociaux |
Comité de soutien Eva JOLY du groupe Sud-Ouest d'EELV
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